On parle beaucoup de l’éco-conception, mais trop peu de là où tout commence vraiment : le brief.
C’est pourtant dans cette première phase – celle où les choix structurants sont faits – que se joue déjà la fin de vie des PLV. Intégrer cette dimension dès le brief permet de gagner du temps, de maîtriser les coûts et surtout de s’inscrire dans une stratégie responsable cohérente.
1. Anticiper, c’est mieux maîtriser
Lorsque la fin de vie est pensée en amont, on peut :
- Choisir des matériaux recyclables ou réutilisables
- Prévoir des formats démontables et faciles à trier
- Optimiser la logistique de retour ou de collecte
- Éviter des surprises ou des coûts imprévus en fin de cycle
2. Un geste pour la planète et pour l’image de marque
Les consommateurs attendent des marques une cohérence écologique dans tous les points de contact. Une PLV jetée, non triée, ou mal démontée peut nuire à votre image – même si elle était belle.
Intégrer la fin de vie dans le brief, c’est garantir une continuité entre vos engagements RSE et vos actions terrain.
3. La chaîne de valeur devient circulaire
Une PLV pensée avec sa seconde vie en tête peut :
- Être réutilisée pour une autre campagne
- Être upcyclée (transformée en objet dérivé ou décoratif)
- Être donnée ou recyclée dans une filière adaptée
Et tout cela se prépare. Dès le brief.
4. Un gain économique mesurable
Moins de matière, moins de déchets, moins de coûts de traitement. Une PLV bien pensée peut réduire significativement :
- Les frais de logistique retour
- Les frais de stockage
- Les frais de tri, recyclage ou destruction
Et parfois même générer des revenus (via le réemploi ou la revente de matière).
Chez PLV One, on intègre la fin dès le début
Nous accompagnons nos clients pour anticiper la fin de vie dès la phase de conception : matériaux, formats, structure, scénarios de valorisation. Parce qu’un bon brief, c’est la meilleure garantie d’une PLV belle, efficace… et responsable jusqu’au bout.