Alors que les groupes de luxe s’engagent vers la neutralité carbone, un défi majeur persiste : celui des émissions indirectes (scope 3), liées notamment à la fabrication, au transport, à l’installation et à la fin de vie des PLV.
Ces supports de communication, souvent considérés comme 'périphériques', pèsent pourtant lourd dans le bilan carbone global. Les grandes maisons commencent à agir, et à exiger des solutions concrètes.
1. Les PLV, partie intégrante du scope 3
Le scope 3 regroupe toutes les émissions indirectes liées à la chaîne de valeur : fournisseurs, logistique, retail, déchets, etc. La PLV en fait partie à plusieurs niveaux :
- Extraction des matières premières
- Fabrication sous-traitée
- Transport international
- Traitement post-utilisation
2. Que font les grandes maisons pour réduire ces émissions ?
- LVMH mesure l’empreinte de ses campagnes par composant et publie des indicateurs dans ses rapports RSE
- Kering intègre la PLV dans ses KPIs d’impact environnemental consolidé (EP&L)
- Clarins développe des PLV réutilisables et traque les émissions liées à leur logistique
- Prada favorise la production locale et évalue l’impact des matériaux utilisés
3. Comment réduire les émissions liées à la PLV ?
- Choix de matériaux bas carbone (carton recyclé, bois certifié, R-PMMA...)
- Design modulaire et démontable pour allonger la durée de vie
- Production plus proche du point de vente
- Logistique mutualisée et rationalisée
- Fin de vie organisée : tri, recyclage, réemploi
- Mesure d’impact via des ACV simplifiées ou outils de suivi carbone
Chez PLV One, la performance rime avec impact maîtrisé
Nous aidons les marques à intégrer la notion d’empreinte carbone dans chaque étape de conception d’une PLV. Parce que dans un monde où la neutralité carbone devient un impératif, chaque support compte.
Parlons-en pour évaluer ensemble l’impact de vos prochaines campagnes.