Une PLV coûte à produire. C’est un fait.
Mais ce que l’on mesure beaucoup moins, ce sont les coûts associés à sa fin de vie, surtout quand elle n’a pas été pensée pour être valorisée.
Entre stockage, transport, tri, destruction ou gaspillage de matière première, le prix à payer pour une PLV non valorisée peut vite dépasser celui de sa fabrication initiale.
1. Le stockage inutile
Combien de PLV terminent leur vie dans un entrepôt, faute de solution ? Des mètres cubes occupés pendant des semaines, voire des mois avec un coût de stockage qui grimpe en silence. Et plus le support est complexe, plus il prend de place et coûte cher à conserver.
2. Le coût logistique du retour
Rapatrier les PLV depuis les points de vente, souvent dispersés sur le territoire, demande des moyens logistiques non prévus initialement. Surtout si aucune stratégie de mutualisation ou de collecte optimisée n’a été pensée dès le brief.
3. La destruction, une charge sèche
Des PLV finissent incinérées ou enfouies, parfois sans tri, faute de meilleure alternative. En plus d’un coût financier, cette pratique a un coût écologique et d’image pour la marque. Et c’est une ressource définitivement perdue.
4. Une matière qui aurait pu rapporter
Carton, bois, aluminium, plastique rigide : bien triés, ces matériaux peuvent être revendus à des recycleurs. Ou réutilisés, ou transformés. Ne rien prévoir, c’est abandonner cette valeur latente.
Chaque PLV non valorisée est une opportunité ratée.
Chez PLV One, on réduit vos coûts invisibles
Notre mission ne s’arrête pas à la conception d’une PLV belle et efficace. Nous vous aidons à penser toute la chaîne de vie, jusqu’à sa fin : pour limiter vos coûts logistiques, valoriser vos matières, et éviter ces charges cachées qui s’accumulent dans l’ombre.
La prochaine fois que vous briefez une PLV, pensez aussi à ce qu’elle deviendra après.