La gestion de la fin de vie des PLV est encore trop souvent improvisée, ou reléguée au second plan. Résultat : des coûts inutiles, un impact environnemental élevé et une dissonance avec les engagements RSE de la marque.
Voici 3 erreurs fréquentes que nous observons dans les campagnes terrain et surtout, les bonnes pratiques pour les éviter.
Erreur n°1 : Ne rien prévoir dès le brief
Trop de projets commencent sans réflexion sur la fin de vie. Le choix des matériaux, des formats, du mode d’assemblage a pourtant un impact direct sur le tri, le démontage et la valorisation future.
La bonne pratique : intégrer un critère « fin de vie » dès la conception. Prévoir des matériaux compatibles, des structures démontables, un circuit de reprise possible.
Erreur n°2 : Utiliser des matériaux composites non séparables
Un socle bois collé à un plexi peint, fixé à du métal par vis et colle forte : un cauchemar pour le recyclage. Plus il y a de matériaux assemblés sans logique, plus le tri est difficile – et donc rarement fait.
La bonne pratique : utiliser un nombre limité de matériaux, facilement dissociables, identifiables et valorisables séparément.
Erreur n°3 : Tout envoyer à la benne sans tri
Par manque de temps, de coordination ou de solution, certaines PLV sont directement détruites ou enfouies, sans passage par une filière adaptée.
La bonne pratique : prévoir en amont le tri, organiser une collecte, identifier les bons partenaires (recyclage, réemploi, dons, etc.).
Chez PLV One, on transforme les erreurs en standards
Nous accompagnons nos clients pour éviter ces pièges courants, en posant dès le début les bonnes bases d’un projet responsable. Parce qu’une belle PLV, c’est aussi une PLV qui vit et qui finit bien.
Un bon brief + de bons matériaux + une bonne fin = une campagne réussie sur toute la ligne.